Pianiste aux multiples facettes musicales, dont le jeu singulier s’est nourri de nombreuses collaborations depuis 10 ans, Paul Lay entre dans la cour des grands.
Après des études au CNSM de Paris, Paul signe en 2010 son premier disque en trio Unveiling (avec Simon Tailleu et Elie Duris), opus vivement salué par la critique.
Ainsi depuis une dizaine d’année il enchaine les prix prestigieux : Prix de Soliste du Concours de la Défense, Concours de Piano-Jazz de Moscou, Concours Martial Solal, Concours de Montreux, Prix de l’Académie Charles Cros avec son deuxième album Mikado, et Prix Django Reinhardt de l’Académie du jazz.
Paul provoque de nouvelles collaborations aux formats originaux. En 2015, il crée pour la Folle journée de Nantes Billie Holiday Passionnément performance vidéo-musicale aux cotés du vidéaste Olivier Garouste. Ce projet est notamment joué à la Philharmonie de Paris, au Trident à Cherbourg, au festival de la Roque d’Anthéron, ou encore au French May Festival à Hong Kong.
En parallèle, Paul devient un sideman de plus en plus recherché. Il intègre ainsi les groupes de Riccardo Del Fra, Géraldine Laurent, Eric le Lann, et Ping Machine.
En 2017, il sort un double-album The Party (avec Dre Pallemaerts et Clemens Van Der Feen), et Alcazar Memories (avec Isabel Sorling et Simon Tailleu). Voici deux trios tout à fait singuliers qui les feront jouer aux quatre coins du monde pour plus de 70 concerts.
A la fin de l’année 2018, Paul sort l’album Thanks a Million, en duo aux cotés d’Eric le Lann, pour un vibrant hommage à Louis Armstrong, particulièrement acclamé par la critique et le public.
Régulièrement invité à l’étranger Paul Lay se produit à New York, à Toronto, à Berlin, à Varsovie. Il effectue des tournées en Allemagne, en Russie, au Pérou, au Mexique, en République Dominicaine, en Chine, et au Japon.
Ce début 2020, son nouveau projet Deep Rivers s’annonce déjà comme un des temps forts de cette année 2020.